Aussi bizarre que cela puisse paraître,
Saint Nicolas et le père Noël ne font qu'un.
Pour en savoir davantage sur la tradition, sur Sankt Niklaus,
devenu Santa Claus chez les anglo-américains, visitez
le lien suivant :
La véritable histoire de Saint Nicolas
La
paix des montagnes Saint-Nicolas,
évêque de Myre en Asie Mineure (voir encadré)
et la Chapelle en souvenir d'une chapelle primitive
édifiée un peu plus haut que l'église
actuelle. Ce
village de 420 habitants, situé à la porte
des gorges de l'Arly, s'étend à mille
mètres d'altitude au pid de la chaîne des
Aravis, sur les douces pentes Sud-Est du Val d'Arly.Son
exposition ne lui a pas permis de devenir une station
de ski.
Alors les "Colatains" ont investi dans ce qu'il y a
de plus cher au monde : la paix.
La
paix entre les animaux et l'homme Dans
une nature préservée, il est fréquent
de rencontrer au bord des routes communales des chamois
et des chevreuils en compagnie de troupeaux de moutons,
de vaches et même d'animaux "étrangers"
comme des lamas. Il faut dire que les Colatains ont
su "apprivoiser" le Chamois en veillant à sa
nourriture pendant l'hiver.
La
paix entre les hommes Les
Colatains ont su depuis longtemps déjà
accueillir les nouveaux venus. En effet une petite partie
de l'Europe est installée à Saint-Nicolas.
Certes Saint-Nicolas La Chapelle n'est pas une station
de ski, mais les remontées mécaniques
ne sont pas très éloignées et le
skieur, après une bonne journée sportive,
apprécie le silence et le calme du village qui
lui redonnent force et vigueur.
A Saint-Nicolas, la randonnée est reine. En hiver,
la raquette, en été, la randonnée
pédestre.
Celle qui vous conduit à Chaucisse avec sa petite
église, dans un vallon où l'on n'entend
que le bruit du nant.
Celle du Treu qui vous permet de découvrir le
Val d'Arly et les chaînes des Aravis et du Mont
Blanc. Le sportif en quête d'aventures peut, à
partir de Saint Nicolas, se lancer dans l'ascension
du Charvin et de l'Etale dans la chaîne des Aravis
sur des itinéraires originaux et peu fréquentés.
Et après l'effort, vous pouvez "piquer une tête"
dans le plan d'eau de Flumet.
En outre les Colatains sont fiers de leur belle église
baroque avec son clocher étincelant et son carillon
qui vous invite à communion avec la nature et
les hommes.
webmaster
Les
églises des hautes vallées savoyardes construites ou reconstruites
après 1630 pour faire face à l'accroissement de la population
demeurent humbles d'aspect mais éclatent à l'intérieur
des fastes du Baroque: triomphe de l'imagerie, du détail,
des dorures et des trompe-l'œil qui mettent l'au-delà
à la portée des imaginations campagnardes. Des artistes
locaux pour la Maurienne et franc-comtois ou valsésians
pour la Tarentaise et le Beaufortain, sans aller jusqu'à
l'extravagance du Baroque italien, ont sculpté des retables
dorés ou polychromes à la symétrie calme et élégante.
Lanslevillard, Termignon, Avrieux pour la Maurienne; Peisey-Nancroix,
Hauteville-Gondon, Champagny pour la Tarentaise; Beaufort,
Hauteluce, Queige pour le Beaufortain; Saint-Nicolas-la-Chapelle
et Flumet pour le val d'Arly ne sont que quelques-uns
des centaines de retables qui illuminent les sanctuaires
payés par les communautés et les émigrants dans un élan
collectif de ferveur manifeste jusqu'aux oratoires qui
bordent les sentiers ou aux chapelles gardant les alpages,
au pied des glaciers. En Tarentaise et Beaufortain, des
clochers à bulbe d'inspiration orientale s'harmonisent
parfaitement avec les formes contournées de l'art baroque:
Bozel, Landry, Bellentre, Hauteluce.
gîte,
chalet, alpes, megève,megeve, cadre authentique, à
la ferme, décor, différent, ressourcer, calme,
cheminée, feu de bois. Fireplace, french alps, genuine,
warm atmosphere.